En décembre 2024, l'UNESCO examinera l'inscription du henné sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Cette candidature est le fruit d'une collaboration entre 16 pays arabes : l'Algérie, l'Arabie saoudite, Bahreïn, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Irak, la Jordanie, le Koweït, le Maroc, la Mauritanie, Oman, la Palestine, le Qatar, le Soudan, la Tunisie et le Yémen.
Le henné est une pratique ancestrale aux multiples facettes, englobant des rituels, des aspects esthétiques et des pratiques sociales. Il est utilisé lors de diverses célébrations, telles que les mariages et les fêtes religieuses, symbolisant la joie, la beauté et la bénédiction. Les motifs appliqués varient selon les régions et les cultures, reflétant une riche diversité de traditions.
Cette démarche conjointe vise à reconnaître et à préserver cette tradition partagée, tout en soulignant son importance culturelle et sociale au sein des communautés concernées. L'inscription du henné au patrimoine immatériel de l'humanité contribuerait à la sauvegarde et à la transmission de ce savoir-faire aux générations futures.
Le henné est une pratique ancestrale aux multiples facettes, englobant des rituels, des aspects esthétiques et des pratiques sociales. Il est utilisé lors de diverses célébrations, telles que les mariages et les fêtes religieuses, symbolisant la joie, la beauté et la bénédiction. Les motifs appliqués varient selon les régions et les cultures, reflétant une riche diversité de traditions.
Cette démarche conjointe vise à reconnaître et à préserver cette tradition partagée, tout en soulignant son importance culturelle et sociale au sein des communautés concernées. L'inscription du henné au patrimoine immatériel de l'humanité contribuerait à la sauvegarde et à la transmission de ce savoir-faire aux générations futures.